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Arthabaska Sainte-Séraphine, Sainte-Élizabeth-de-Warwick et Victoriaville

Depuis 2022, le Projet éolien Arthabaska prend forme dans la région du Centre-du-Québec, tout près des bureaux de Boralex, à Kingsey Falls. Il se déploiera sur le territoire des municipalités de Sainte-Séraphine et de Sainte-Élizabeth-de-Warwick ainsi que celui de la Ville de Victoriaville. Ce projet a été sélectionné en janvier 2024 par Hydro-Québec dans le cadre de son appel d’offres visant à sécuriser 1 500 mégawatts (MW) d’énergie éolienne. Avec 36 à 42 éoliennes et une puissance installée de 265,2 mégawatts, le parc éolien Arthabaska sera opérationnel à compter du 1er décembre 2029 pour soutenir la transition énergétique du Québec.

Projet en développement

Emplacement

Sainte-Séraphine, Sainte-Élizabeth-de-Warwick et Victoriaville, Québec, Canada

Description

  • Date de mise en servicedécembre 2029
  • Durée du contrat30 ans
  • Puissance installée265,2 MW
  • Entre 36 et 42 Éoliennes

Techniciens et techniciennes face à une éolienne

Données techniques

  • TurbinesEntre 36 et 42 éoliennes

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Aperçu du projet

Depuis 2022, le Projet éolien Arthabaska prend forme dans la région du Centre-du-Québec. Il se déploiera sur le territoire des municipalités de Sainte-Séraphine et de Sainte-Élizabeth-de-Warwick ainsi que celui de la Ville de Victoriaville

Le projet éolien Arthabaska est imaginé par Boralex, producteur d’énergie renouvelable basée à Kingsey-Falls. Le projet s’inscrit dans le cadre d’appels d’offres d'Hydro-Québec pour combler rapidement les besoins énergétiques futurs. En effet, la société d’état, pour réussir la transition énergétique du Québec, a identifié des besoins considérables. Le projet Arthabaska vise à combler une partie de ces besoins.

Avancement du projet

  • Actuellement le projet en est à l’étape de la présentation à la communauté, aux élus et aux propriétaires visés.
  • Le processus d’études d’impacts sera entrepris dans les prochains mois.
  • Si le projet devait se concrétiser, le début des travaux est prévu pour 2027 et la mise en opération du parc, en 2029.
Configuration parc éolien arthabaska

Les partenaires du projet

  • MRC Arthabaska : 50 % des parts
  • Boralex : 50 % des parts

L’énergie éolienne, un atout pour un Québec décarboné

Face à la hausse attendue de la demande en électricité, Hydro-Québec, dans son Plan d'action 2035 - vers un Québec décarboné et prospère, prévoit un recours accru aux énergies renouvelables pour combler rapidement les besoins énergétiques futurs. L’énergie éolienne s’impose comme une solution compétitive. Avec son faible coût de production et sa complémentarité avec l’hydroélectricité, elle est un levier clé de la transition énergétique du Québec.

 

Echéancier préliminaire

Timeline du projet éolien Arthabaska

Une question?

Geneviève Fortin-Blanchard

Conseillère principale – Affaires publiques et relations avec la communauté

infoeolienarthabaska@boralex.com

438-454-3439

Les questions les plus souvent posées

  • Une localisation idéale pour répondre aux besoins énergétiques en concertation avec le milieu : 

    Potentiel éolien important 

    Proximité des lignes de raccordement d’Hydro-Québec près du circuit L2376-L2377 spécifié dans l’A/O 2023 d’HQ.

    Chemins agricoles existants et accès routiers 

    Production d’énergie à proximité des centres de consommation 

    Pour plus de détails: 

    Le secteur possède un bon potentiel de développement éolien notamment en raison de la qualité des vents du site, la topographie plane compatible avec l’implantation d’un parc éolien, la possibilité d’utiliser des infrastructures existantes limitant le nombre de nouveaux chemins requis pour accéder aux éoliennes et de ses caractéristiques environnementales et sociales du secteur. 

    La ligne de transport haute tension près du circuit L2376-L2377 qui relie les postes de la Nicolet et de Kingsey d’Hydro-Québec

  • Voici quelques exemples :

    Dispositions règlementaires

    Constructibilité (contraintes techniques)

    Accessibilité (composantes et chemins existants)

    Impact sur l'agriculture (ha)

    Impacts sur le milieu humain et naturel

    Acceptabilité sociale

    Infrastructures actuelles (Liens télécom., pipeline)

    Productivité de l'éolienne

  • À la hausse, oui. D’abord, une étude réalisée sur le sujet par le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH) démontre qu’il n’y a aucun impact négatif (réf. : L’effet des infrastructures sur la valeur foncière des propriétés (gouv.qc.ca)(PDF)).

    Par ailleurs, la valeur des terres est reliée aux variations de l’offre et de la demande et du revenu généré par la terre.

    Enfin, s’il se réalise, le projet éolien, influencerait à la hausse la valeur de la terre du fait du revenu supplémentaire généré par les compensations versées par le projet éolien.

  • D’abord, il faut savoir qu’au Québec, la réglementation en cours fixe le niveau sonore maximal acceptable en milieu rural à 40 dBA, ce qui équivaut au bruit ambiant d’une bibliothèque. À titre d’information, « dB » est le sigle pour décibel et dBA le sigle pour la manière dont l’oreille humaine entend.

    Le projet à l’étude présentement se conformera sans mal à ces normes d’autant que les éoliennes utilisées aujourd’hui, sont plus silencieuses qu’elles ne l’ont jamais été. Il y a aussi le fait que lorsqu’une éolienne se retrouve dans le paysage d’une résidence, elle en est éloignée d’au moins 700 mètres.

    Il faut mentionner également, que l’impact sonore des éoliennes est désormais modélisable à l’aide de logiciels, ce qui permet d’optimiser leur performance à ce chapitre tout en minimisant les impacts environnementaux.

    L’impact sonore du projet sera évalué lors de l’étude d’impact. La conception du projet, donc la localisation des éoliennes, tiendra compte de ces résultats enregistrés et le projet sera ajusté afin d’assurer le respect des normes applicables. Des suivis seront également réalisés lors de la phase d’opérations.

  • Plusieurs étapes restent encore à être franchies avant l’autorisation finale du projet, dont le processus d’évaluation environnementale, celui du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE), l’autorisation par la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) et finalement l’obtention de plusieurs autres autorisations et permis.

  • Le processus d’approvisionnement est toujours en cours et donc, le manufacturier et le modèle d’éolienne peuvent encore changer. Selon le modèle sélectionné, les longueurs de pales pourraient varier entre 81 et 85 mètres avec une hauteur de mât d’environ 110 à 120 mètres, pour une puissance entre 6,0 MW et 7,2 MW

  • Un plan de transport sera déposé quand le plan d’ingénierie sera détaillé et que la provenance des composantes sera connue.

    Nos projets prévoient habituellement un plan de signalement, des signaleurs et des mesures d’atténuations pour le transport. 

  • Le projet Athabaska représente un investissement d’environ 700 millions de dollars.

  • Le projet éolien Arthabaska, comme les 8 autres projets qui ont été retenus dans l’appel d’offres compétitif A/O 2023 d’Hydro-Québec, n’est pas subventionné. Tous les fonds pour la phase de développement et de construction proviennent des fonds propres des promoteurs et de prêts contractés auprès de banques.  

  • Un programme de compensation a été mise en place pour tous les riverains se situant à moins de 1,2 km des éoliennes. 

    Comme les municipalités recevront des montants prévus en redevances, les citoyens en bénéficieront indirectement.

  • Nous avons effectué 4 séries de portes ouvertes depuis 2022

    Nous avons organisé plus de 250 rencontres avec différents acteurs économiques, environnementaux, récréotouristiques, les propriétaires, la Nation W8banaki, la MRC et les municipalités. 

    Les activités de consultations continueront tout au long du projet. 

    Nous mettrons aussi en place dans les prochains mois un comité de liaison siégeant des élus, des citoyens et différents acteurs des milieux agricoles, économiques et environnementaux.

    Nous mettrons aussi en place un comité de maximisation économique pour assurer des retombées locales dans le milieu d’accueil. 

  • Des études réalisées par les autorités reconnues, telles que l’Institut national de la santé publique du Québec, ne démontrent aucun effet néfaste pour la santé humaine provenant des éoliennes.  

    Ref : Éoliennes et santé publique : mise à jour 2023 | Institut national de santé publique du Québec (inspq.qc.ca)  

  • Près de 375 emplois seront créés ou maintenus durant la phase de construction. Les entreprises locales et les travailleurs locaux seront favorisés, à compétences, capacité et prix égaux, durant la phase de construction. Un comité de maximisation économique sera mis sur pied en 2025 à cette fin. 

    Durant la phase d’exploitation du parc, environ 10 emplois directs seront créés et maintenus pour superviser et entretenir le parc éolien

  • C’est la responsabilité des promoteurs de remettre le site en état et d’assurer le démantèlement du projet 

    On se conformera aux exigences de la règlementation en vigueur et aux conditions de permis 

    Le contrat avec HQ prévoit des garanties financières afin d’assurer le démantèlement

  • Consulter l’étude d’impact sur l’environnement : : https://www.ree.environnement.gouv.qc.ca/projet.asp?no_dossier=3211-12-262

Registre des fournisseurs

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Joggeur et techniciens se saluant face à une éolienne